Ou l'histoire d'un grand Secret...

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Album Bérenger Saunière - Rennes-le-Château Archive

L'album photo
de Bérenger Saunière

Rennes‑Le‑Château ou l'histoire d'un grand secret

 

 

 

  Quelques photos et cartes postales datant de l'époque de Bérenger Saunière entre 1890 et 1917, mais aussi plus tard vers 1960, juste avant que Gérard de Sède ne décide de publier "L'or de Rennes" en 1967.

  

   Ces clichés sont le témoignage d'un temps où Rennes‑le‑Château était un petit village insouciant,  baignant encore dans la solitude et le calme. Son destin n'était pas encore fixé et il n'y avait que les gens du pays et quelques notables et aristocrates qui connaissaient la mystérieuse aventure du curé aux milliards... Une sérénité avant la tempête des chercheurs et des médias... Mais n'oublions pas que déjà, entre 1880 et 1930, quelques prêtres agissaient déjà dans l'ombre...

 

Ces photos ont été retraitées numériquement
pour optimiser au mieux leur qualité et les agrandir.

 

 

 

 

Bérenger Saunière et Marie Dénarnaud

Le portrait le plus connu de
Bérenger Saunière

Bérenger Saunière vers 1895 (détail d'une photo)

 

 

Le portrait dans son intégralité

Une photo sévère de Bérenger Saunière

 

Bérenger Saunière en 1891 lors de la Mission (détail d'une photo)

Bérenger Saunière entouré d'amis à l'heure d'un apéritif vers 1895

 

Bérenger Saunière, majestueux, pose avec un groupe d'amis

 

 

 

Photo prise en 1903. À gauche, Bérenger Saunière et à ses côté Élie Bot qui fut avec Marie Dénarnaud probablement les seules personnes du village à être au courant de tout ou partie du secret du prêtre...

 

Bérenger Saunière en 1891 priant devant la Vierge de Lourdes. Celle‑ci fut posée sur le pilier carolingien inversé issu de l'église.

 

 

Bérenger Saunière en 1905 pose fièrement devant l'œuvre de sa vie : l'église rénovée. Le bréviaire qu'il a dans sa main est sans doute celui avec lequel il a été enterré. (Collection Corbu‑Captier)

 

La Mission 1891 à Rennes‑le‑Château. On reconnaît Bérenger Saunière derrière les enfants à gauche. Au centre, un prêtre lazariste est venu pour l'occasion.

 

 

Bérenger Saunière pose dans la rue devant la Villa Béthanie. Les deux chiens présents sont sans doute les siens. En second plan, on peut distinguer l'entrée des jardins de l'église. En arrière plan, le château de Hautpoul

 

Il ne faut pas oublier Marie Dénarnaud, sa fidèle compagne et complice dans le secret.

 

Bérenger Saunière posant à la cascade de Saoutadou avec son mystérieux parapluie blanc

 

 

Montazels, le village natal de Bérenger Saunière 

 

 

Alfred Saunière, le frère de Bérenger

 

Alfred Saunière alors jeune prêtre

 

 

 

On a  longtemps cru que ce portrait était celui de Bérenger Saunière, une erreur qui perdure encore chez certains auteurs. Il s'agit en fait d'Alfred Saunière plus agé...

 

Un autre portrait d'Alfred Saunière que l'on confond régulièrement avec son frère Bérenger Saunière.

 

 

Henri Boudet posant aux Roulers (les Pierres tremblantes) près de Rennes‑les‑Bains, un site que l'on retrouve sous la forme d'un dessin intégré dans son livre culte "La Vraie Langue Celtique"

 

 

L'agrandissement de l'image précédente confirme qu'il s'agit bien d'Henri Boudet, un visage que l'on retrouve dans la photo "Réunion de prêtres" (voir ci-dessous)

 

  

Une étrange réunion de prêtres

 

    Voici une photo étrange qui ne manque certainement ni de charme ni de mystères. Nous avons de gauche à droite et selon les dernières confirmations : Bérenger Saunière, l'abbé Antoine Maurice Joseph Malot (curé de Grèzes près de Carcassonne et neveu de l'abbé Gélis), Alfred Saunière, Henri Boudet (non certifié, mais fort probable) et Antoine Gélis.

   Cette réunion de prêtres autour d'un livre tenu fermement par Bérenger Saunière démontre un sens accru de la mise en scène. Remarquez comme chaque prêtre pose son regard dans des directions différentes. Compte tenu de l'apparence physique de Saunière et de l'année d'assassinat de Gélis en 1897, on peut estimer que la date de cette réunion se situe entre 1895 et 1897.

   Cette photo remarquable aimablement communiquée par un descendant de la famille Malot, a été publiée dans " Les cahiers Terres de Rhedae n° 2 "

 

L'église Marie‑Madeleine et son petit cimetière

 

Le clocher de l'église et le petit cimetière

Bérenger Saunière et sa complice Marie Dénarnaud fouillaient la nuit...

 

Une carte postale montrant le bénitier tel qu'il était à l'origine avant que la tête du diable soit volée.
(photo prise par Pierre Plantard)

 

L'intérieur de l'église Marie‑Madeleine restaurée

Le porche de l'église Marie‑Madeleine et son tympan "Ce lieu est terrible"

 

Le fronton du cimetière et sa tête de mort, assez explicite...

Le petit cimetière et au fond la Tour de l'Orangeraie. On devine la cheminée de la cuisine construite par Noël Corbu

 

Le mystérieux isoloir collé à l'église de Saunière et accessible uniquement par un faux placard.

La fresque haut‑relief "La Montagne Fleurie" dans l'église, sûrement l'une des grandes fiertés de Saunière... 

 

Le Domaine de Saunière et ses constructions

 

Une vue d'ensemble de la Villa Béthania et du parc en 1904. Au premier plan, les jardins sont parfaitement tirés au cordeau. Sur la gauche de la Villa, on aperçoit le presbytère et le clocher de l'église Marie‑Madeleine. Sur la droite, on peut voir le château de Hautpoul et ses tours.

Une vieille carte postale montrant la
Villa Béthania en construction. À droite, le château d'Hautpoul.

 

 

 

 

 

Le belvédère fraîchement construit, et la terrasse qui protègeront plus tard le restaurant Hôtel de la Tour de Noël Corbu

La Villa Béthania en 1905 vue de la rue 

 

 

 

Bérenger Saunière et Marie Dénarnaud dans le potager

L'autel de la Chapelle privée attenante à la Villa Béthania

 

L'autel de la Chapelle privée abandonnée.

 

 

Saunière n'habitait pas dans la Villa Béthania, mais au presbytère.
Voici sa chambre.

 

 

La Tour Magdala et les jardins du parc magnifiquement dessinés...

 

 

La Tour Magdala juste après sa construction. Le terrain autour montre le travail énorme de terrassement qu'il fallut déployer...

 

La Tour Magdala en 1960. La dauphine appartient à Noël Corbu et le personnage marchant à gauche est Gérard de Sède

 

 

 

La Tour Magdala en construction. La photo permet de mieux se rendre compte de la manière dont la Tour fut construite. Saunière pose avec les ouvriers. Les jardins sont bien avancés, le belvédère est terminé, et l'Orangeraie est en cours de finition.

 

La Tour Magdala vue du plateau "le Bal des couleurs"

La Tour Magdala en 1905 

 

 

La Tour Magdala vue du plateau "Le Bal des couleurs"

 

 

 

L'une des cartes postales vendues par Saunière et montrant la grotte ronde du jardin de l'église telle qu'elle était à son origine.

 

Une image rare : la Tour Magdala en pleine construction avec des échafaudages.

 

Le petit salon dans la Tour Magdala où aimait se réfugier Saunière. Dans la vitrine à droite, la photo de son frère Alfred.

 

Une photo peu connue de la Villa Béthanie avec vue sur les jardins et l'église à gauche en 1958

Le jardin potager et au fond l'école. Remarquez la régularité des cercles du potager...

 

La Tour Magdala et ses jardins dessinés.

 

 

 

Une photo peu connue de l'une des cartes postales de Saunière. On y voit la Tour de l'Orangeraie en construction. Au fond, le terrain communal.

 

Une photo particulièrement intéressante. Saunière pose avec son mystérieux parapluie blanc au milieu du potager aux formes géométriques rigoureuses. Au fond, la Villa Béthanie et l'église à gauche. 

Une vue générale des jardins avec à droite le potager et à gauche l'église Marie‑Madeleine. 

 

 

 

 

La Villa Béthanie tout juste terminée. La photo fut prise sans doute entre 1904 et 1906 et fait partie des 33 cartes postales de Bérenger Saunière. Mais qui est donc ce prêtre lazariste qui frappe à la porte ? Serait‑ce Jean Jourde venant constater la fin des travaux ?

Les jardins en face de la Villa Béthanie. Bérenger Saunière aimait poser pour les photos dans son Domaine en compagnie de Marie Dénarnaud.

 

 

Bérenger devant l'Orangeraie, accompagné de ses oies. Souhaitait‑il symboliser les oies du Capitole qui sauvèrent Rome ?

 

 

Une vue rare du Domaine avant les travaux d'aménagement réalisés par la commune. La pergola du belvédère n'existait pas encore...

 

Montazels

 

Montazels, le village natal de Bérenger Saunière

Au centre, la maison natale de Bérenger Saunière à Montazels 


La période Noël Corbu

 

 

 

Marie Dénarnaud entourée de quelques amis

Noël Corbu présentant un squelette retrouvé lors d'une fouille

 

 

 

 

Noël Corbu et Yvette Charroux lors de la fouille d'une tombe dans le petit cimetière

de Rennes-le-Château

 

 

 

 


 

 

  Ces photos ont été retraitées et nettoyées pour le plaisir des passionnés.
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